False Prophet (Revelation 16:13) Beatus of Liébana, Commentaria in Apocalypsin (the ‘Beatus of Saint-Sever’), Saint-Sever before 1072 BnF, Latin 8878, fol. 184v
Mot-clé - origine du monde
Au commencement était le Verbe
et Dieu créa la femme
Beaucoup appellent le codex du XVe siècle, communément appelé «manuscrit de Voynich», le livre le plus mystérieux du monde. Rédigé dans un script inconnu par un auteur inconnu, le manuscrit n'a pas de but plus clair maintenant que lorsqu'il a été redécouvert en 1912 par le marchand de livres rares Wilfrid Voynich. Le manuscrit apparaît et disparaît à travers l'histoire, de la bibliothèque du Saint Empereur Romain Rodolphe II à une vente secrète de livres en 1903 par la Compagnie de Jésus à Rome. Le langage du livre a échappé au déchiffrement, et ses illustrations élaborées restent aussi déroutantes que belles. Pour la première fois, ce fac-similé, complet avec des sections de pliage élaborées, permet aux lecteurs d'explorer cette énigme dans tous ses détails étonnants, de son texte unique en son genre «Voynichese» à ses illustrations de plantes d'un autre monde, de constellations inconnues, et de femmes nues nageant dans des tubes fantastiques et des bains verts.
The Voynich Manuscript
Many call the fifteenth-century codex, commonly known as the “Voynich Manuscript,” the world’s most mysterious book. Written in an unknown script by an unknown author, the manuscript has no clearer purpose now than when it was rediscovered in 1912 by rare books dealer Wilfrid Voynich. The manuscript appears and disappears throughout history, from the library of the Holy Roman Emperor Rudolf II to a secret sale of books in 1903 by the Society of Jesus in Rome. The book’s language has eluded decipherment, and its elaborate illustrations remain as baffling as they are beautiful. For the first time, this facsimile, complete with elaborate folding sections, allows readers to explore this enigma in all its stunning detail, from its one-of-a-kind “Voynichese” text to its illustrations of otherworldly plants, unfamiliar constellations, and naked women swimming though fantastical tubes and green baths.
Une île, entre le ciel et l'eau
collage : Sammy Slabbinck
chanson : Serge Lama
Quand je pense que je suis Fernande
A 4th century CE statue of Aphroditos. The figurine would have stood about 30 cm high, represented in a style known as ἀνασυρόμενος (anasyromenos), a female lifting her dress to reveal male genitals, a gesture that was believed to have apotropaic qualities, averting evil influences and bestowing good luck / Georges Brassens
Une des plus anciennes images athéniennes existantes est un fragment (fin du ive siècle av. J.-C.), trouvé dans l'Agora d'Athènes, d'un moule en argile pour un figurine en terre cuite. Le personnage aurait eu une hauteur de 30 cm, représentée dans un style connu sous le nom de άνασυρόμενος (anasyromenos), une femme levant sa robe pour montrer ses organes génitaux masculins, un geste qui était censé avoir une valeur apotropaïque, repoussant les influences malfaisantes et donnant de la chance.
« billets précédents - page 25 de 147 - billets suivants »